1 - Ressources opérationnelles internes

Vous pouvez mobiliser vos équipes opérationnelles / métiers en interne, en complément des fonctions dédiées, pour réaliser des contrôles ou des audits croisés. Il convient de les former et de les superviser pour qu’ils interviennent avec la bonne posture et en toute indépendance, mais l’expérience montre que les constats et axes d’améliorations peuvent être particulièrement pertinents, avec un échange de bonnes pratiques, le tout pour un coût marginal faible.
L’allongement des durées de carrières offre également une opportunité d’impliquer des managers très seniors, qui peuvent faire profiter l’organisation de toute leur expérience.
2 - Technologie

Les outils de pilotages « GRC » (pour Gouvernance, Risques et Contrôles) sont nombreux, mais c’est aux éditeurs de vous accompagner dans le déploiement de votre feuille de route, pas le contraire. Les technologies d’analyse de données ne cessent de progresser, mais nécessitent de mobiliser les bonnes compétences (idéalement de manière partagée et coordonnée avec d’autres fonctions de l’entreprise). Enfin, les agents IA vont progressivement modifier la manière même dont sont opérés les contrôles, avec des anticipations à réaliser dès à présent.
Nous vous accompagnons dans vos prises de décisions et dans les processus de sélection des meilleures solutions.
3 - Consultants externes

Le recours à des expertises externes reste indispensable, tant les domaines à couvrir sont nombreux et spécifiques (par exemple les enjeux de cyber sécurité ou de conformité réglementaire).
Nous vous aidons à constituer les bons panels de cabinets et à définir les modes d’interventions les plus adaptés.
4 - Extension sur des domaines opérationnels

Un rôle « passif » de contrôle n’est plus suffisant. Les dirigeants attendent une implication plus forte dans l’accompagnement de la mise en œuvre.
Ceci doit permettre aux équipes centrales de contrôle ou d’audit de se mobiliser sur le terrain auprès du management, d’être plus impliquées et de manière continue sur les grands projets. Elles gagnent également en compétences et en légitimité.
4 leviers pour optimiser votre dispositif

Comment y arriver ?

Il n’y a pas un ou des dispositifs standards. Tout dépend de la culture et du contexte de l’entreprise. C’est à la direction générale (ainsi qu’au conseil d’administration) de définir ses ambitions, mais aussi au management de faire remonter ses besoins.
Nous complétons cette phase d’écoute par un exercice accéléré de cartographie des risques et des opportunités.
Nous vous aidons à définir la cible la plus adaptée, en toute indépendance et avec toute l’expérience acquise de situations très variées. L’important est de mener cette étape de manière très rapide en allant à l’essentiel.
Recueillir les attentes des parties prenantes et se concentrer sur les bons enjeux

Les dispositifs de contrôle peuvent être comparé à la végétation dans un jardin : sans remise en question, ils ne feront que croître. A un moment, il faut savoir réaliser des coupes, mais de manière raisonnée et avec un plan d’ensemble.
La cartographie des risques et des opportunités menée préalablement doit permettre de définir les priorités. Nous menons dans la foulée des ateliers participatifs par domaines : votre management opérationnel est étroitement associé pour définir les règles et contrôles à mettre en œuvre. Sans adhésion des opérationnels, qui connaissent les enjeux du terrain, il ne peut y avoir que des procédures imposées, hors sol, et finalement peu ou mal appliquées.
Simplifier les dispositifs et
fédérer les équipes

Nous coachons les différentes fonctions en charge de l’animation des dispositifs, de manière à monter en compétences, à collaborer ensemble, à évoluer vers une posture de « business partners ».
Au besoin, nous vous aidons à réaliser les bons recrutements, en assurant préalablement que les feuilles de route sont claires. Au besoin, nous pouvons directement assumer un rôle de gestion de la fonction de manière transitoire.
Accompagner la transformation

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Le retour sur investissement des dispositifs n’est pas objectivé et piloté. Les dispositifs s’empilent, s’alourdissent.
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Les directions générales et organes de gouvernance en font en premier lieu le constant : elles demandent des dispositifs intégrés et non pas en silos, elles veulent que les sujets importants soient traités, être alertées, et surtout disposer d’un partenaire de confiance qui les aide à piloter et maîtriser leurs activités.
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Mais les attentes du management opérationnel ne sont pas non plus abordées. La notion « d’expérience utilisateur » est souvent la grande absente : sollicitations non coordonnées, manque de soutien des fonctions centrales.
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L’irruption de l’IA, les enjeux RSE, l’extension des domaines de conformité induisent une mutation accélérée des fonctions…avec des acteurs qui pour la plupart ne sont pas prêts à se transformer
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Au-delà des aspects techniques et outils, c’est l’aspect humain qui prime : personne n’applique réellement des règles ou procédures s’il ne comprend pas pourquoi il doit le faire, ce que ça peut lui apporter…et s’il n’a pas été impliqué en amont
